Attention! Article non destiné aux personnes super zen, qui dorment avant même le décollage et qui sont debout tout le long du vol en mode décontract’
Salut à vous! Aujourd’hui je reviens sur un sujet qui me tient particulièrement à coeur: l’art de se chier dessus au décollage, en vol, en turbulences, à l’atterrissage… Bref à bord d’un AVION quoi!
Comme ca a pu se voir avec mes précédents articles, j’adore tout ce qui touche aux voyages, à la découverte de nouveaux horizons, de nouveaux paysages et de nouvelles cultures. J’adore tout autant voyager dans un pays voisin qu’au bout du monde. Mais forcément il y a un moment où le seul moyen de transport efficace se révèle être cet objet volant tant redouté.
Etant déjà une grande stressée de la vie, le fait même d’être dans les airs sans aucune responsabilité sur ce qu’il se passe autour de moi ne me rassure pas grandement. Et je pense ne pas être la seule! (Ou du moins je l’espère grandement) Je fais partie de ceux qui, rien qu’avec un pied dans l’aéroport, guette les décollages d’un air inquiet. Ou bien qui consultent une grande multitudes de sites météo pour s’assurer qu’une seule goutte de pluie ne viendra pas perturber leur vol. (Ou leur esprit, tu le vois comme tu veux). Mais qui une fois dans les airs, regarde d’un air ébahi chaque nuage « oh mais que c’est beaaaaau, et petiiiit », enfin jusqu’à la prochaine turbulence où mon corps se remet à suer.
BREF, en tant que grande amatrice du « je chiale discrètement à 2/3 de mes décollages » je me permets de vous partager les quelques phrases que je me répète tout au long du vol et qui me permettent de relativiser là bas en haut! (Ou presque)
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